En fait, je voudrais surtout essayer d'obtenir un blond plus lumineux, moins fade quoi. J'ai l'impression qu'avec le temps il a perdu de son éclat, sans forcément virer au cuivré. Si ça pouvait légèrement éclaircir, ce serait top, mais c'est surtout la brillance que je recherche !
C'est vrai que l'effet du miel, c'est peut-être plus un truc de blondes... Sur du châtain, je doute que ça fasse grand-chose, à part peut-être hydrater un peu. Faudrait voir si Savitribai a un blond foncé ou clair pour savoir si ça vaut la peine d'essayer.
Je me demandais, en fait, si on se rend bien compte à quel point c'est important de vraiment prendre au sérieux ce que nos enfants nous disent quand ils ont peur. Souvent, on a tendance à minimiser parce qu'on pense qu'ils sont trop petits pour comprendre ou qu'ils exagèrent, mais je crois que ça peut avoir des conséquences sur leur confiance en nous et en leur propre intuition. Vous en pensez quoi ?
Bon, alors, petit retour après quelques essais. J'ai testé l'huile de coco comme conseillé, et effectivement, c'est pas mal pour la brillance ! Les cheveux sont doux, et ça se voit. Pour le miel, j'ai tenté aussi, mais comme on disait, c'est peut-être un peu léger pour moi. Par contre, les fleurs de sureau, c'est une super découverte ! J'ai fait des rinçages pendant une semaine, et je trouve que ça a vraiment ravivé mon blond, avec des reflets dorés très jolis. Merci beaucoup pour vos conseils, c'était top ! Je vais continuer comme ça, en alternant avec l'huile de coco.
Pixelia85, pour te donner un exemple, je pense aux situations où un enfant insiste pour ne pas aller dans un certain endroit ou être avec une personne en particulier, sans pouvoir forcément l'expliquer clairement. Au lieu de forcer la situation, je crois qu'il est bon de creuser un peu, de poser des questions ouvertes pour comprendre ce qui le gêne, même si ça nous paraît irrationnel sur le coup. Et pour une peur qui nous semble infondée, je pense qu'on peut dire quelque chose comme : "Je comprends que tu aies peur, c'est normal de ressentir ça. Même si moi, je ne ressens pas la même chose, je suis là pour toi". L'idée, c'est vraiment de ne pas invalider son ressenti, tout en le rassurant et en l'aidant à comprendre sa peur.
